Stage MathC2+ à l’université de Strasbourg – juin 2016

Date: du 6 au 10 juin 2016

Lieu: UFR de mathématique et informatique, université de Strasbourg

Académie: Strasbourg (Michel Barthel]).

Porteur de projet: Josiane Nervi, IREM de Strasbourg.

Autres partenaires scientifiques ou pédagogiques: UFR de mathématique et informatique (Vincent Blanloeil), Rectorat de Strasbourg (Michel Barthel).

Mots clés: ateliers mathématiques – activité fil rouge – travaux sur poste informatique

A Strasbourg, l’IREM s’est proposé de prendre en charge l’organisation et la logistique du stage, avec le soutien du Rectorat et de l’UFR de Mathématique et d’Informatique. 

Nous avons accueilli cette année 32 élèves de classes de Seconde (15 filles et 17 garçons) venant de 16 lycées de l’académie. Le programme scientifique a été élaboré sous la responsabilité de Josiane Nervi-Gasparini, directrice de l’IREM. Six enseignants-chercheurs de l’UFR de mathématiques ont proposé des sujets de réflexion sous forme de petits cours suivis d’ateliers. Des problèmes de type «Â Olympiades  », proposés par Tatiana Beliaeva et traités en petits groupes, ont accompagné comme un fil rouge toute la durée du stage.

Cette année, à  la demande de monsieur Robert Cabane, Inspecteur Général de mathématiques, un atelier d’informatique a été proposé. Ce programme nous a donné l’occasion d’organiser une demi-journée autour de l’informatique et de ses métiers en accueillant une équipe d’ingénieurs de Google. Une vidéo a été produite par cette équipe : https://drive.google.com/file/d/0B5NNx3Wz9TLIX0Z4SmlNcmVfOTg/view

Les activités proposées et quelques photos du stage

Stage MathC2+ à l’Ens de Rennes – juin 2016

Date: du 15 au 17 juin 2016

Lieu: Ecole normale supérieure de Rennes

Académie: Rennes (Gilles Patry).

Porteur de projet: Rozenn Texier-Picard, Jérémy Le Borgne.

Autres partenaires: ENS Rennes, IRMAR (Institut de Recherche Mathématique de Rennes), Ecole doctorale Matisse, INRIA Rennes, Association des Petits Débrouillards Grand Ouest.

Mots clefs: activités de recherche en petits groupes, en mathématiques ou informatique, visites de laboratoires, débats et jeux mathématiques.

Pour cette nouvelle édition, ont été accueillis 22 filles et 26 garçons de Seconde, originaires de 6 lycées :

 lycée Bréquigny, Rennes

 lycée Victor et Hélène Basch, Rennes

 lycée René Descartes, Rennes

 lycée Jean Macé, Rennes

 lycée Joliot Curie, Rennes

 lycée Bertrand d’Argentré, Vitré

Ils ont été encadrés par des binà´mes : enseignant-e du secondaire – doctorant-e.

Le stage a permis une évolution de la perception des mathématiques chez les stagiaires :

1) par l’aspect ludique, «Â j’ai appris qu’on peut résoudre un problème mathématique en s’amusant  », «Â  c’est moins scolaire, nouvelle vision des maths au quotidien  »

2) par la découverte des applications, «Â Je me suis rendu compte que les maths sont un peu partout dans notre quotidien  », «Â  les maths sont omniprésentes dans la vie et pas seulement en cours.  », «Â  avant je ne me posais pas la question de si il y avait des maths dans ce que je faisais (jeux vidéo) maintenant je comprends mieux comment ça marche.  », «Â j’ai découvert l’application des maths en biologie, l’intérêt des maths dans les métiers de chercheurs.  », «Â  je ne me rendais pas compte que les maths regroupaient autant de choses différentes.  » , «Â je ne pensais pas que les maths avaient autant d’applications et se concrétisent dans tous ces domaines, maintenant je vais bosser dur :)  », «Â je suis content d’avoir vu les différentes possibilités que les maths apportaient, je pensais que ça ne servait que dans l’informatique.  »

3) une meilleure compréhension des enjeux et méthodes de la recherche mathématique : «Â  les maths ce ne sont pas que des calculs  », «Â j’ai appris qu’il n’y a pas de réponse exacte à  toutes les équations comme on nous a expliqué le premier jour avec les thèses.  », «Â j’ai découvert l’application des maths en biologie, l’intérêt des maths dans les métiers de chercheurs.  », «Â  je ne pensais pas qu’il y avait des maths dans la biologie et que le travail d’un mathématicien n’est pas forcément de faire des calculs.  », «Â je ne pensais pas que les domaines de recherche étaient aussi vastes (médecine, chimie, robotique…)  ».

4) la découverte de métiers : «Â j’ai découvert de nouveaux métiers mais je ne suis pas sà»re de mon choix.  », «Â j’ai plus d’idées sur les métiers en lien avec les maths  »

5) l’acquisition de nouvelles connaissances et méthodes : «Â oui, j’ai acquis plus de connaissances et de meilleures méthodes  », «Â oui j’ai pu m’enrichir davantage  »â€¦

Témoignages des élèves, photos, flyer de présentation du stage…

Réalisation d’une affiche

Travail en équipe

Visite de laboratoire

Exposé de fin de stage

Stage MathC2+ en Nouvelle Calédonie – octobre 2016

Date: du mardi 11 octobre au vendredi 14 octobre 2016

Lieu: Centre Culturel Tjibaou – Nouméa – Nouvelle-Calédonie

Académie: Académie de Nouvelle-Calédonie (Michelle Roire).

Porteur de projet: Caroline Guillard (présidente de l’As2Maths), Jean-Claude Lindauer (chargé de mission en mathématiques), Bianca Travain (Université de la Nouvelle-Calédonie).

Vingt-quatre élèves de Seconde (12 filles et 12 garçons) issus de 7 lycées de Nouvelle-Calédonie ont participé à  ce stage alors que 52 dossiers de canditure ont été reçus. La sélection des stagiaires a été faite en prenant en compte la motivation des élèves, leur environnement, ainsi qu’un ratio permettant de représenter au mieux l’ensemble des lycées du territoire.
Pendant toute la durée du stage, les élèves ont été hébergés en pension complète au Centre Culturel Tjibaou situé à  Nouméa. Le programme a inclus des rencontres avec plusieurs professionnels (ISEE, Mairie de Noumea, Architecte) et organismes de recherche (UNC, IFREMER) durant lesquelles divers thèmes ont été exposés aux élèves par des spécialistes et reconnectés autour des mathématiques par des professeurs de mathématiques.

L’emploi du temps du stage

Les retours du stage

L’emploi du temps détaillé et les photos du stage

Stage MathC2+ à Reims – juin 2016

Date: du 27 juin au 1er juillet 2016

Lieu: Laboratoire de Mathématiques de l’université de Reims Champagne-Ardenne

Académie: Reims (Philippe Scatton, Christine Weill).

Porteur de projet: Michael Pevzner.

Ce stage a permis de proposer à  30 élèves de Première S sélectionnés dans les 4 départements de l’académie diverses activités autour des mathématiques (conférences, mini-cours, ateliers) ainsi que des visites de plusieurs sites de l’UFR.

Pour en savoir plus, un résumé du stage et quelques photos
Mais aussi
http://www.ac-reims.fr/cid104138/dispositif-mathc2.html
http://www.ac-reims.fr/cid104592/dispositif-mathc2.html

Stage Mathc2+ à l’INRIA de Sofia-Antipolis – juin 2016

Date: du 14 au 17 juin 2016

Lieu: INRIA Sophia

Académie: Nice (Pierre Mari).

Porteur de projet: Martine Olivi, Sandrine Nodar, Marie-Christine Bonnart.

L’objectif est de faire découvrir à  des élèves de seconde le monde de la recherche scientifique en travaillant en partenariat avec des enseignants/chercheurs de l’enseignement supérieur et des ingénieurs/chercheurs du monde des entreprises.
Cette année, 40 élèves ont participé au stage, dont 18 filles. L’inscription des élèves s’est faite par le biais de leur enseignant de mathématiques, le critère principal étant leur motivation et leur goà»t pour les mathématiques et l’informatique.

Diverses activités ont été proposées aux élèves, avec entre autres :
• conférence sur internet ;
• initiation à  la robotique ;
• initiation à  la programmation ;
• rencontre avec des doctorants ;
• visite de Polytchnice ;
• travail sur des pico-projets.

L’emploi du temps du stage

Activités pédagogiques BnF 2017

  • Présentation de la salle C, de ses ressources imprimées et numérisées
    Visite possible les mercredis 18 janvier, 22 février, 22 mars et 26 avril :
    Cet espace, accessible à  partir de 16 ans ou du bac, couvre l’ensemble des disciplines scientifiques fondamentales et appliquées, ainsi que l’histoire des sciences et des techniques. 37 000 ouvrages et 215 titres de périodiques à  la disposition des lecteurs.
    A l’issue de la visite, l’élève pourra expérimenter la salle de lecture de son choix grà¢ce à  un titre d’accès gratuit -17h00.
    30 personnes max . salle C
  • Exposition Pascal
    Visite possible le mercredi 18 janvier :
    Mathématicien, physicien, inventeur, philosophe, moraliste et théologien, Blaise Pascal échappe à  toute tentative d’exhaustivité. L’exposition qui a lieu à  la BnF propose d’entrer dans l’Å“uvre et la vie de l’auteur en suivant le fil des trois « ordres » qui organisent la pensée pascalienne : le corps ; la raison, que Pascal « géomètre » pousse au point extrême o๠elle rencontre ses limites ; le cÅ“ur, enfin, autour du projet d’apologie de la religion chrétienne à  l’origine des Pensées.
    Une démonstration de la machine arithmétique est proposée par petits groupes.
    40 personnes max. Salle Exposition.
  • Présentation des ressources en ligne de la BnF
    Visite possible les mercredis 18 janvier, 22 février, 22 mars et 26 avril :
    A partir de l’exploration du site www.bnf;fr , les élèves découvrent les outils et les ressources documentaires mis à  leur disposition gratuitement. De la conférence de Cédric Villani au texte des Pensées de Pascal, il suffit d’un clic. Circuit découverte de la Bibliothèque dans les espaces du haut-de-jardin.
    40 personnes max. Aquarium ou salle des commissions.
  • Jouer à  débattre
    Visite possible les mercredis 22 février et 22 mars :
    Conçu comme un support de débat, un jeu Jouer à  Débattre permet aux jeunes de s’emparer d’une thématique science-société de façon ludique et dans une logique transdisciplinaire.
    Chaque partie de jeu dure 1 heure 30, comprenant au-delà  du jeu lui-même, une phase de discussion avec les jeunes sur les thèmes abordés.
    20 élèves max – Aquarium
  • Exposition Sciences pour tous
    Visite possible le mercredi 26 avril :
    Pendant longtemps réservée au cercle des savants, le domaine scientifique s’ouvre petit à  petit à  un public plus large. Ce changement lent, amorcé au 16e siècle notamment par le passage du latin au français dans les écrits, s’est poursuivi avec le développement des salons scientifiques, la création des académies puis l’apparition des cabinets de curiosités initiant ainsi la noblesse à  toutes sortes de sciences. Au 18e siècle, la vogue pour les expériences et les inventions parvient à  toucher un public plus populaire en adoptant des formes spectaculaires : expériences électriques, automates, premiers vols en ballon, etc.
    Ce mouvement se poursuit au 19e siècle en multipliant les moyens de diffusion, de la presse aux conférences, des expositions au livre récréatif, du manuel médical aux spectacles. C’est l’à¢ge d’or de la vulgarisation scientifique. C’est ce foisonnement des dispositifs d’accès à  la science que cette présentation veut exposer.

Journée « Filles et maths : une équation lumineuse » à Paris le 15 décembre 2016

La prochaine journée se déroulera le 15 décembre 2016 à  l’Institut Henri Poincaré, et sera réservée aux élèves de Première S et Terminale S de 9h30 à  17h.

Programme

Le programme de la journée est structuré autour de :

  • plusieurs moments d’échanges en petits groupes avec des ingénieures, mathématiciennes, informaticiennes… du milieu de la recherche ou de l’industrie,
  • une promenade mathématique (une conférence de vulgarisation)
  • une pièce de théà¢tre-forum (théà¢tre interactif),
  • un atelier sur les métiers des maths ou sur les stéréotypes qui lient le genre et les sciences.

Pour en savoir plus, consultez le programme de la journée.

Frais

La journée est entièrement gratuite : le repas et les petites collations sont à  notre charge et le transport peut être remboursé sur simple demande avec justificatif.

Modalités d’inscription

Les inscriptions ont largement dépassé le maximum autorisé. Nous fermons le formulaire. Merci de votre compréhension. (Samedi 26 novembre)

étape 1 : pré-inscrire vos élèves (maximum 15 par lycée) à  l’adresse suivante :
https://docs.google.com/a/essilor.fr/forms/d/e/1FAIpQLSf1TqIxo4YMisuCHCfEReMsq45srleEnIEEb_ZEQLXU5A7BkQ/viewform?c=0&w=1 ou via le site de femmes et mathématiques
étape 2 : remplir, signer, faire signer les conventions (une par élève) disponible sur simple demande à  fetm@ihp.fr si vous ne l’avez pas récupéré sur le site de femmes et mathématiques, ou d’Animath.
étape 3 : attendre la confirmation de notre part (au plus tard le 5 décembre)
Les élèves se présenteront avec leur convention signée (nous récupérerons les conventions de chaque élèves à  leur arrivée en pointant des présentes).
Les lycéennes peuvent faire une inscription individuelle sur https://docs.google.com/a/essilor.fr/forms/d/e/1FAIpQLSemYrf5cG-6-tQin3i-eRjlqCHTuJUJ618w-lo1HoSHJeux-w/viewform?c=0&w=1 ou via les sites de femmes et mathématiques, ou d’Animath.

Le weekend filles et mathématiques de novembre 2016 au jour le jour

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Premier jour : découverte et prise de marques


Après quelques problèmes de transport, tout le monde est réuni pour les présentations. C’est l’occasion pour les filles d’échanger sur leur goà»t pour les maths et leur projet d’études supérieures.
Après le déjeuner, Martin Andler, président d’Animath, adresse son mot d’accueil aux participantes. C’est l’occasion de revenir sur la présence encore trop rare des femmes en mathématiques, notamment dans la recherche.
S’ensuit une présentation du métier de chercheuse par Elsa Lorthe et Aurélie Bourdon, suivie d’une intervention d’Amandine Veber, chercheuse au CNRS. Les participantes n’hésitent pas à  poser toutes leurs questions, et y trouvent réponse.

Une chasse au trésor lancée dans l’ENS : 6 équipes de 4 sont constituées. Elles doivent résoudre 8 problèmes, dont les solutions donnent des indications sur la localisation du trésor.
Au final, aucune équipe n’arrive à  tout résoudre, et c’est en mettant en commun leurs solutions que 2 équipes parviennent jusqu’au trésor (des M&Ms).


Après le goà»ter, 4 anciens participants au TFJM viennent présenter le sujet qu’ils ont choisi de traiter avec les participantes, et sur lequel ils réfléchiront ensemble le lendemain. Guillaume et Lucie ont choisi des problèmes de l’ITYM, Cécile et Laura du TFJM 2014. Les énoncés sont distribués aux participantes pour qu’elles puissent commencer à  y réfléchir pendant la soirée.
La journée se conclut par un repas à  la FIAP, o๠les lycéennes sont hébergées.

Samedi : on profite

Début de la 2e journée ! La matinée commence avec les ateliers de recherche TFJM présentés la veille. Les filles travaillent sur de l’arithmétique avec Guillaume, les labyrinthes avec Cécile, la théorie des jeux avec Laura et la géométrie avec Lucie. L’objectif n’est bien sà»r pas de réussir toutes les questions, mais de se familiariser avec l’activité de recherche que propose le TFJM.

Les équipes, plus ou moins guidées par leur encadrant, avancent toutes remarquablement vites.


A 11h, tout le monde s’arrête pour suivre une conférence de Sylvie Boldo, chercheuse à  l’INRIA, sur -entre autres- les programmes et bugs informatiques.

Après le déjeuner, c’est au tour de Camille Sutour, professeur assistante à  l’université Paris-Descartes, de nous exposer le sujet de son travail : la restauration d’images.


Les ateliers TFJM reprennent ensuite : les équipes doivent préparer un passage à  l’oral de 10 minutes au totale, soit moins de 2 par participante !
Un peu nerveuses, les lycéennes de chaque groupe passent tour à  tour. Elles veulent si bien expliquer à  leurs camarades qu’elles débordent toutes sur le temps de parole, mais elles nous auront bluffées par leur capacité à  comprendre l’énoncé et mettre en forme leurs réponses.

Par la suite, les filles prennent part à  un speed-meeting avec des intervenantes ingénieurs, professeurs, doctorantes, élèves en classes préparatoires ou encore physiciennes. Cela permet à  une bonne partie d’entre elles de déconstruire des préjugés qu’elles avaient auparavant sur ces cursus scientifiques, et de se renseigner plus amplement sur la diversité des parcours.

Cette journée bien remplie se termine par une excellente soirée au restaurant italien.

Dernier jour : au revoir mais pas adieu


C’est la dernière journée du Week-end Filles&Maths, et elle commence fort avec un court de géométrie olympique avec Florent dès 8h !
Les lycéennes sont divisées en deux groupes, débutant et avancé, en fonction de leur participation antérieure ou non à  un stage Animath.
Le groupe débutant découvre les axes radicaux et la puissance d’un cercle par rapport à  un point, le groupe avancé étudie des exercices difficiles issus d’olympiades.
A l’issue du cours, toutes ont appris quelque chose et celles du groupe débutant sont ravies de découvrir de nouvelles propriétés géométriques.


De 11h à  12h, un atelier « Stéréotypes, kézako ? » est mis en place par Lucile, Eva, Véronique et Annick. Il a pour but de faire réfléchir les filles sur les préjugés qu’elles ont intériorisé sur le rapport entre filles et mathématiques, et plus généralement en sciences, et sur les discriminations dont elles peuvent être victimes au cours de leur vie professionnelle.
Les mêmes phrases ressortent souvent : « La prépa c’est trop dur, tu n’y arriveras pas », « Les filles qui font des sciences vont toutes en médecine », « si tu as une bonne note c’est parce que tes parents sont profs de maths ».

De manière très générale, on a appris aux filles à  avoir moins d’ambition que les garçons, et c’est une des principales raison de la création du WFMaths.
Certaines participantes nous confieront d’ailleurs qu’après toutes ces discussions, elles pensent demander des classes préparatoires plus prestigieuses que celles qu’elles visaient, et assument vouloir intégrer de très grandes écoles. C’est un grand pas en avant !


Martin Andler conclut ce week end en remerciant tous ceux qui l’ont rendu possible, et en exhortant les participantes à  faire les études qui les passionnent.

L’heure du départ approche, les filles échangent leurs coordonnées et savent qu’elles se reverront lors du TFJM, auquelle la grande majorité compte participer.

Lorsqu’on leur demande ce qu’elles ont pensé du week-end, une seule réponse : « C’était trop court ! ». Heureusement, elles ont encore toute l’année pour participer à  d’autres évènements mathématiques, comme le TFJM ou les séances de club de mathématiques, voire les stages olympiques pour celles qui ont réussi le test d’entrée à  l’OFM, qui a eu lieu en octobre.

On espère les revoir bientà´t !

Stage MathC2+ à Lyon – juin 2016

Date: du 20 au 23 juin 2016

Lieu: Maison des Mathématiques et de l’Informatique, université de Lyon

Académie: Lyon (Alain Truchan).

Porteur de projet: Alain Truchan, Association Plaisir Maths.

Autres partenaires scientifiques ou pédagogiques: IREM de Lyon, Plaisir Maths, université de Lyon 1.

Le stage s’est déroulé sur 4 jours, 3 jours à  la Maison des Mathématiques et de l’Informatique, et un jour à  l’université de Lyon. Vingt-deux élèves de fin de Seconde générale (11 filles et 11 garçons), venant de 10 lycées différents de l’académie, y ont participé. Le programme était constitué de

  • conférences mathématiques : sport et mathématiques, modélisation et effet Magnus, sport de glisse, histoire des jeux mathématiques ;
  • ateliers mathématiques : jeux de stratégie, rails de train et paraboles, club maths discrètes, magie et calculatrice ;
  • animations mathématiques : rallye mathématique, exposition MathALyon, danse avec les maths, jeux mathématiques ;
  • conférence sur les métiers des mathématiques.

Le thème «Â sport et mathématiques  » a donné lieu à  de nombreux ateliers.
L’utilisation des calculatrices CASIO a été intégrée à  la modélisation de trajectoires.

Le bilan de satisfaction des participants

L’emploi du temps du stage