Club de mathématiques discrètes de Lyon

Ce club s’adresse essentiellement aux collégiens et lycéens de la région Rhà´ne-Alpes. Il s’agit de pratiquer les mathématiques comme un loisir en proposant des problèmes de mathématiques élémentaires mais ingénieux.

Le but principal n’est pas de préparer un concours, mais de faire des mathématiques jolies, élégantes, amusantes, efficaces, profondes, importantes et passionnantes.

Informations générales

Fréquence : une vingtaine de séances d’une journée par an.

Porteur principal : Animath

Partenaires scientifique : ENS Lyon, Institut Camille Jordan

Club olympique de Lille

Ce club propose une préparation aux olympiades académiques. C’est l’occasion pour les élèves motivés de la région Nord-Pas-de-Calais de satisfaire leur appétit mathématique en s’entrainant sur des problèmes non scolaires.

Informations générales

Fréquence : Six séances d’une demi-journée par an.

Porteur principal : UFR Mathématiques de l’université Lille 1.

Partenaires scientifiques : IREM de l’université Lille 1.

Mesure de l’impact

Une douzaine d’élèves de la région Nord-Pas-de-Calais participent régulièrement aux séances du club qui se déroulent sur le campus de Villeneuve d’Ascq de l’Université Lille 1.

Mathematical Olympiads Club

Ce club réunit des lycéens de la seconde à  la terminale de la région Ile-de-France. L’objectif est de présenter aux élèves des problèmes de mathématiques élémentaires dont la solution est ingénieuse afin de développer leur intuition, leur créativité et leur assiduité dans la résolution de problèmes.

Comme pour le club de mathématiques discrètes de Lyon, le but principal n’est pas de préparer un concours, mais de faire des mathématiques jolies, élégantes, amusantes, efficaces, profondes, importantes et passionnantes.

Les lycéens sont encadrés pendant quatre heures par séance par un doctorant ou un chercheur.

Informations générales

Fréquence : entre 30 et 40 séances par an.

Porteur principal : Animath, université Paris-sud 11.

International : L’animation est assurée par des doctorants étrangers. Une partie des élèves participent à  l’école d’été Brigantina en Biélorussie.

Mesure de l’impact

Le club se réunit annuellement entre 20 et 30 fois le samedi à  Orsay.

Une dizaine d’élèves participent en moyenne à  chaque séance. Ce nombre est resté stable depuis 2008.

Stage de préparation olympique

Il s’agit de proposer aux potentiels candidats français deux stages annuels résidents de préparation au concours des olympiades internationales de mathématiques. Le processus d’identification des candidats fait partie du dispositif. Des séances de cours, de travaux dirigés et de tests sont encadrés par des chercheurs souvent anciens olympiens.

Informations générales

Fréquence : Un stage de 7 jours se déroule pendant les vacances d’été pour les élèves de la troisième à  la première. Un stage «Â junior  » de 4 jours (mis en place en 2009).

Porteur principal : Animath.

Partenaires : OFM

Mesure de l’impact

Stage d’été: 40 inscrits en 2008, 2009, 2010. Stage «Â junior  »: 12 inscrits en 2009, 24 inscrits en 2010. Les stages se déroulent en Ile-de-France mais drainent des élèves de tout le pays (et même certains étrangers).

Tutorat olympique par correspondance

Un système de tutorat par correspondance permet de préparer les très jeunes candidats (de troisième et de seconde) en amont des stages de préparation olympique. Chaque tuteur (en général un normalien ou un jeune doctorant) envoie et corrige régulièrement (6 à  12 fois par an) un problème à  son élève.

Par la suite, les stages résidentiels peuvent prendre le relais.

Informations générales

Fréquence : Six à  douze problèmes par an et par élève.

Porteur principal : Animath.

Partenaires scientifiques et pédagogique : Ecole normale supérieure de Paris.

Budget global type : Annuellement, le temps bénévole pour l’animation représente entre 3000 et 5000 euros.

Mesure de l’impact

Chaque année, entre 15 et 20 élèves profitent du tutorat olympique par correspondance. La formule permet de toucher toutes les régions françaises.

Université d’été Science ouverte à Paris 13

En juin 2010, 24 élèves de la Seine-Saint-Denis entrant en Première S se sont réunis à  l’Université Paris 13 pour une université d’été de 12 jours dont la porte d’entrée était les mathématiques qui sert de langage à  l’ensemble des sciences. Les activités se sont réparties entre conférences, rencontres avec les professionnels, ateliers et visites. Les participants ont pu profiter d’un suivi à  long terme sur l’année académique au travers du tutorat Animath – Science Ouverte notamment (mais aussi au travers de stages thématiques en avril, du club CNRS etc.)

Vu son succès, cette initiative a été reconduite en avril 2011 et en juin 2011 pour deux stages qui ont été labelisés MathC2+.

Informations générales

Fréquence : session de 12 jours en juin (période scolaire chà´mée).

Porteur principal : Science Ouverte

Partenaires scientifiques et pédagogiques : Animath, Université Paris 13, écoles doctorales de la région Parisienne, Département de mathématiques du Palais de la Découverte, CNRS (délégation Ile-de-France Ouest et Nord), Paris-Montagne, Math en jeans.

Mesure de l’impact

En 2010, les 24 élèves (dont 54% de filles et 66% de boursiers) sont issus de familles à  revenus modestes du département de Seine-Saint-Denis. Vingt d’entre eux profitent d’une activité de suivi. Le stage s’est déroulé sur le campus de Bobigny, avec des visites extérieures (polytechnique, palais de la découverte…). En 2011, pour un même type de public, les stages on rassemblé 20 élèves en avril et 27 élèves en juin.

Ateliers MATh.en.JEANS

Les ateliers MATh.enJEANS consistent à  immerger les élèves dans la recherche mathématique en train de se faire, en les plaçant en position d’apprentis chercheurs. Pour se faire, chaque semaine à  partir du mois de septembre, des élèves volontaires et des enseignants de deux établissements scolaires jumelés travaillent en parallèle sur des sujets de recherche mathématique proposés par un chercheur.

Plusieurs fois dans l’année, les élèves, les enseignants et le chercheur impliqués dans l’atelier se rencontrent à  l’occasion de séminaires, partagent leurs idées, leurs hésitations, leurs méthodes de travail.
L’atelier est couronné par une participation au congrès annuel (voir la fiche «Â Congrès MATh.en.JEANS  »).

Informations générales

Fréquence : Les élèves des ateliers MATh.en.JEANS se réunissent une à  deux heures par semaine, de début septembre à  fin mars.

Porteur principal : L’association MATh.en.JEANS.

Partenaires scientifiques et pédagogiques : CNRS – INSMI, l’association Science Ouverte, les laboratoires et départements d’o๠sont issus les chercheurs, les établissements scolaires.

International : Vu son succès, la formule s’est propagée à  l’internationale. Ainsi, par exemple, durant l’année académique 2010 – 2011, 16 ateliers se sont déroulés à  l’étranger.

Mesure de l’impact

Ateliers « Maths à modeler »

Des moniteurs de l’école doctorale de Grenoble assistés par des chercheurs de l’équipe Maths à  modeler (2 moniteurs pas séance) animent en classe 6 à  8 séances hebdomadaires d’une heure autour de situations de recherche de l’équipe. L’objectif est d’introduire la démarche de recherche en mathématique auprès des élèves, avec ses doutes, ses rebondissements, ses réussites et ses échecs. Cette activité contribue donc à  l’amélioration de la perception de la discipline auprès des jeunes.

A l’issue de ces séances, comme dans toute parcourt de recherche, les élèves restituent leur démarche et leurs résultats dans un séminaire «Â Maths à  modeler  » qui est organisé dans les locaux de l’université et rassemble au moins deux classes différentes.

Informations générales

Fréquence : Cycle de 6 à  8 séances hebdomadaires d’une heure.

Porteur principal : Maths à  modeler.

Partenaires scientifiques : Ecole doctorale de Grenoble, Université Joseph Fourrier, CNRS-INSMI.

Mesure de l’impact

Chaque année, une dizaine de classes (300 élèves) de la région de Grenoble ou de Savoie sont concernés par cette action.

Ateliers « Maths à  modeler » in situ

Résumé de l’opération

Dans le cadre d’un atelier «Â Maths en Jeans  », des élèves du Collège et lycée pour tous de Grenoble (CLEPT), viennent une demi-journée par semaine dans les locaux de l’université pour effectuer un travail de recherche encadré par un chercheur de l’équipe «Â Maths à  modeler  ». Les élèves participent alors au congrès «Â Maths en Jeans  ».

Informations générales

Fréquence : Une séance hebdomadaire d’une demi-journée de novembre à  mars.

Porteur principal : Maths à  Modeler
Partenaires scientifiques et pédagogique: CLEPT, Institut Fourier, CNRS.

Ateliers « Maths à  modeler » chez Grafiti

Résumé de l’opération

Cette activité concerne dix élèves de l’Unité Pédagogique d’Intégration du collège des îles de Mars à  Pont de Claix. Trois chercheurs et deux encadrants du collèges encadrent 10 élèves ayant des handicaps psychologiques graves autour d’une activité de découverte de la recherche mathématique.

Informations générales

Fréquence : Dix séances hebdomadaires en fin d’année scolaire.

Porteur principal : Maths à  Modeler

Partenaires scientifiques et pédagogique: Collège des îles de Mars, Institut Fourier, CNRS – INSMI.

Mesure de l’impact

Il s’agit d’une activité destinée à  une dizaine d’élèves avec de lourds handicaps psychologiques. Elle nécessite un importante interaction avec l’équipe pédagogique du collège.

Stages hippocampe

Un stage Hippocampe consiste à  accueillir une classe de lycéens pendant trois jours consécutifs, à  l’université, pour une initiation à  la recherche en Mathématiques. Encadrés par des chercheurs, les élèves réfléchissent sur des problèmes de mathématiques, en lien avec les thèmes de travail du chercheur responsable du stage. Ils posent des questions et élaborent des hypothèses, puis ils expérimentent, discutent, débattent et communiquent, comme le font quotidiennement les chercheurs dans leur activité. Enfin, ils présentent leurs travaux à  d’autres chercheurs lors d’une séance de posters.

Informations générales

Fréquence : stages de 3 jours consécutifs. Une quinzaine sont organisés chaque année par le laboratoire Pythéas.

Porteur principal : le laboratoire Pythéas de l’IREM d’Aix-Marseille

Partenaires scientifiques et pédagogiques : Institut de Mathématiques de Luminy, Université de la Méditerranée, Association Maths Pour Tous, ADIREM

Mesure de l’impact

Chaque stage concerne une moyenne de 25 élèves (375 élèves par an) pendant 3 jours. Une quinzaine d’établissements sont concernés chaque année, avec une priorité affichée pour les établissements situés en zone d’éducation prioritaire ou les classes considérées comme difficiles. Si on y ajoute les stages délocalisés ou organisés dans d’autres IREM, plus de 2000 élèves ont été impliqués dans cette action depuis sa création.

Parrainage « Un chercheur, un enseignant, une classe »

Le but des activités de parrainage d’une classe par un chercheur est de faire connaître l’université, les métiers de la recherche et ses avancées.

Le parrainage est une activité de rencontres qui se déroule sur une année académique. Ces rencontres se déroulent au lycée (le chercheur propose alors à  la classe un travail thématique) et, pour au moins l’une d’entre elles, à  l’université (découverte des filières et des structures, visite des amphis, bibliothèques, laboratoires…). En fin d’année, les élèves présentent à  l’université les résultats de leurs travaux thématiques.

Informations pratiques

Fréquence : Le parrainage dure une année scolaire. Il a été mis en place en 2009-2010.

Porteur principal : LMRS.

Partenaire pédagogique : Académie de Rouen.

Mesure de l’impact

En 2009-2010, cinq classes de l’académie de Rouen ont été parrainées.